TENDRE LA MAIN : FAIRE LA DIFFÉRENCE À L’ÉGARD DES JEUNES ADULTES

Méditations spirituelles 14/03/2021

A. ALLEN MARTIN | Ministry Janvier 2009

J’ai entendu l’expression l’effet spectateur pour la première fois dans mon cours universitaire de psychologie sociale. Wikipedia la définit comme « un phénomène psychologique dans lequel une personne risque moins d’intervenir dans une situation d’urgence si d’autres personnes sont présentes, que si elle était seule. »1 L’article fait référence à une variété d’incidents atroces durant lesquels des douzaines de spectateurs sont « restés là », et n’ont rien fait, alors que des meurtres étaient commis sous leurs yeux.

Je suis scandalisé par l’effet spectateur, mais d’une autre façon. Je me suis de- mandé comment il pourrait affecter l’église, nous faisant « rester là » sans rien faire alors que toute une génération disparaît de nos rangs.

Désengagement, privation de droit, et disparition

Suite à son étude remarquable sur des adolescents adventistes, Roger Dudley, de l’Institut du Ministère de l’Église à l’université Andrews, a noté, «Il semble raisonnable de croire qu’au moins 40 ou 50 pourcent des adolescents adventistes d’Amérique du Nord quittent l’église dans le courant de leurs années 20. Et ce chiffre pourrait être plus élevé 2 ».

« C’est une hémorragie d’énormes proportions,» avertit Dudley, et il ajoute qu’« il a été démontré que le déclin du nombre des membres de plusieurs églises protestantes traditionnelles, peut être largement déterminé par le manque de jeunes adultes dans les congrégations 3 ». Le démographe George Barna note que, dans le christianisme en général, « les données les plus notables concernant le désengagement signalent que la majorité de ceux qui ont vingt ans et plus –soit 61% des jeunes adultes d’aujourd’hui– ont été à l’église durant leurs années d’adolescence, mais sont maintenant désengagés (ne fréquentent plus activement l’église, ni ne lisent la Bible, ni ne prient) 4.

David Kinnaman, du Groupe Barna, explique : « L’état actuel du ministère en faveur des jeunes de vingt ans est terriblement inadapté pour répondre aux besoins spirituels de millions de jeunes adultes. Ces individus font des choix importants pour leur vie, déterminant ainsi les modèles et préférences de leur réalité spirituelle pendant que les églises attendent, généralement en vain, qu’ils y reviennent après l’université, ou quand ils auront des enfants 5 ».

Ce désengagement est une menace pour l’Église adventiste. Le président de l’Église adventiste du septième jour en Amérique du Nord (NAD), Don Schneider, a dit, « Nous devons [aussi] nous concentrer sur les jeunes adultes de notre Église … les jeunes gens ont besoin d’être mieux intégrés dans l’Église… Y a-t-il quelque moyen pour permettre à nos jeunes d’adorer d’une manière qui soit significative pour eux, tout en étant sans risque ? Les jeunes adultes doivent être entendus au niveau des dirigeants, et leurs sentiments pris en considération 6.»

Paul Richardson, du Centre pour un Ministère Créatif, dont les bureaux sont à College Place, Washington, aux États-Unis, rapporte que l’âge moyen de la communauté adventiste en Amérique du Nord, « y compris les enfants non baptisés des familles de l’église, est de 58 ans… Parmi les membres autochtones, noirs et blancs, l’âge moyen est encore plus élevé.» Les implications troublantes de ces chiffres sont visibles quand cet âge moyen, 58, est mis en comparaison avec les âges moyens de la population aux États-Unis et au Canada qui sont respectivement de 36 et 37 ans !

Ces tendances sont graves. Plus de 1000 églises locales (sur un total d’environ 5000) de l’Église adventiste en Amérique du Nord, n’ont ni enfants ni adolescents. De moins en moins de paroisses ont suffisemment d’adolescents ou de jeunes adultes, et même de jeunes couples, pour « assurer la masse critique nécessaire pour animer un groupe de jeunes et d’autres activités, qui ont toujours rythmé la vie des églises adventistes 8.»

Le départ des jeunes adultes de la communauté de foi locale ne s’est pas fait sans être remarqué par le président de la Conférence générale, Jan Paulsen, qui, depuis plusieurs années, est entré en conversations télévisées avec la jeune génération (http://letstalk.adventist.org). Jan Paulsen a noté : «Ils [les jeunes adultes] ont des perspectives, des espérances, ils ont des rêves, et des visions pour l’Église, qui doivent être prises au sérieux. Si on ne le fait pas, ils se sentiront défavorisés, comme beaucoup le ressentent déjà 9.»

Cette tendance ne serait pas aussi problématique, si nous l’avions rapidement identifiée, nous y intéressant avec toute l’urgence qu’elle méritait. Et cependant, le fait est que nous ne l’avons pas fait.

Durant plus d’une décennie de recherche sur la génération X, j’ai trouvé des statistiques comparables de jeunes adultes disparaissant de la vie religieuse locale sente plus de trois décennies d’examen au sujet de l’abandon de l’église de la part des nouvelles générations. Son livre, Why Teenagers Leave Religion (Pourquoi les adolescents quittent la religion) a été publié en 1978.

Au-delà de l’analyse statistique, la plupart d’entre nous connaissent des jeunes qui se sont séparés de l’église. Beaucoup pourraient raconter des histoires de jeunes de cet âge, ou de leurs enfants adultes, ou petits-enfants, qui ne participent plus à l’adventisme. Nous savons, depuis quelque temps déjà, que les jeunes adultes ont quitte l’église, et n’avons été autre chose que des spectateurs. D’où le terrible « effet spectateur ».

Pourquoi partent-ils ?

La première question est : pourquoi partent-ils ? Dudley a découvert que les perceptions des jeunes adultes sur la qualité relationnelle avec les responsables religieux ont joué un rôle important dans leur départ. Les dirigeants adventistes ont été d’accord, déclarant que les raisons les plus fréquemment avancées par ceux qui quittent l’église locale, se situent « dans le domaine des relations, dans l’absence de sentiment d’appartenance, ainsi que dans l’absence d’un engagement significatif dans la congrégation locale et sa mission 11.»

Kimberly Luste Maran, une jeune adulte, a noté que « trop souvent les paroles et actions négatives des membres d’Église plus âgés occasionnent, chez les jeunes, des sentiments de colère, de ressenti- ment, d’amertume, et de crainte… Satan utilisera toute méthode, y compris les membres d’Église, pour nous séparer de l’amour de notre Père 13 ».

Lors d’une émission Let’s Talk, animée par le pasteur Paulsen, Kaden, âgée de 25 ans, a dit : « Je pense que la meilleure chose que les dirigeants de l’église puis- sent faire pour les jeunes de notre église, c’est de faire connaissance avec eux. Trop souvent ces dirigeants sont assis sur leurs hautes positions, et jugent les jeunes sans la moindre idée de ce qu’ils vivent ».

Jan Paulsen a ajouté : « Nous (dirigeants d’église) avons besoin d’écouter et de comprendre ce qu’ils (les jeunes adultes) disent, car cela nous parvient clairement et fortement de la part des moins de trente ans de notre église. Ce qu’ils veulent c’est être inclus, qu’on leur fasse confiance, être considérés comme responsables, que les anciens soient prêts à prendre des risques avec leur inexpérience. Tels sont les sentiments et attitudes que les dirigeants plus âgés doivent être disposés à démontrer, autre- ment nous sommes finis ! Nous sommes finis, simplement parce que nous n’assumons pas notre responsabilité dans la vie de cette église 15 ».

Robert Wuthnow, professeur de sociologie à l’Université Princeton, a noté les diverses tendances qui ont un impact sur les jeunes adultes et qui contribuent à la disparition du paysage religieux américain. « Mon opinion est que les églises peuvent survivre, mais seulement si les responsables religieux retroussent leurs manches et accordent considérablement plus d’attention aux jeunes adultes que ce qui a été fait.»

Pourquoi les jeunes adultes partent-ils ? Les réponses peuvent être aussi diverses et personnelles que chaque jeune adulte, pourtant il est clair que le manque de relations mutuellement valables qui construiraient confiance et soutien mutuels, laisse les deux parties – jeunes adultes et adventisme – devant le risque de disparaitre.

Montrer les héros

Quelle est donc la solution ? L’article Wikipedia sur « l’effet spectateur » fait une recommandation fascinante : « Pour contrer l’effet spectateur, quand vous êtes la victime, une bonne recommandation, est de choisir une personne spécifique dans la foule pour demander de l’aide, plutôt que de faire appel à la foule en général. Si vous êtes la seule personne à réagir face à l’urgence, choisissez un spectateur spécifique et confiez-lui une tâche précise, comme ”Vous, appelez la police !” Ce type d’action, plutôt que de rester indéterminé dans son appel, place la responsabilité sur une personne particulière 17».

Pour renverser l’effet spectateur, je VOUS désigne comme le héro éventuel dans la vie des jeunes adultes : Parents. Durant les années importantes de transition de la vie du jeune adulte, vous jouez un rôle vital, non seulement dans la vie de votre enfant, mais aussi dans le cercle de ses amis. Faites de votre maison et de votre présence une lieu d’hospitalité, de sécurité et de sagesse 18.

Connie Vandeman Jeffery partage une formule simple de nourriture, d’amitié et d’accompagnement qui fait de chez elle un havre de sécurité pour les jeunes adultes 19. Si vous n’avez pas de grands enfants chez vous, ou si vous n’avez pas d’enfants du tout, faites le simple effort de créer une relation authentique avec un jeune de vingt ans ou plus. Pour démarrer, c’est aussi simple qu’une invita- tion à déjeuner.

Pasteurs. Si les statistiques sont exactes, votre influence et votre impact sur le climat de votre église sont désespérément nécessaires. Établir une culture d’inclusion des jeunes adultes dépend largement de votre vision et votre direction.

Bill Bossert raconte comment son église moribonde a retrouvé son destin et pris des mesures héroïques pour changer de direction. Grâce à une analyse soignée, une recherche pratique et des changements progressifs courageux et complets, la Shepherd House a inversé la marée de pertes et augmenté le nombre de jeunes adultes de 60 pour cent dans son sein.21 Le changement ne vient pas sans défis, ni inconfort, mais pour renverser l’effet spectateur, les pasteurs se doivent d’être héroïques pour encourager leurs églises à faire de même. Professeurs/enseignants. Les éducateurs ont une influence profonde sur la vie des jeunes adultes. Au-delà de l’académique, ou des prouesses professionnelles, vous êtes aussi appelés à vous investir dans le développement spirituel du jeune adulte.

Alors qu’il enseignait au Spicer Memorial College, Falvo Fowler a découvert que sa simple initiative de commencer une École du Sabbat avec ses étudiants a eu un impact profond sur ce qui était autrefois une expérience « nominale » dans la vie de plusieurs d’entre eux.

Jimmy Phillips a fait remarquer que la « majorité invisible » des étudiants adventistes sont dans des écoles hors de notre système adventiste, et j’imagine que plusieurs adventistes font partie de leur personnel et enseignants. Des milliers de jeunes adultes adventistes bénéficieront de vos efforts de collaboration avec les églises locales et avec votre établissement d’enseignement pour former des groupes, des associations de foi ou des communautés d’évangélisation. 23

L’Adventist Christian Fellowship 24 – Communauté chrétienne adventiste – http://www.acflink.org est une source importante d’idées et de support pour vos initiatives. Vos conseils et votre direction sont les clés pour combattre l’effet spectateur, si répandu dans ces campus et dans les églises voisines. Le journal Dialogue, publié par le département de l’éducation de l’Église adventiste 25, est également un bon outil.

Dirigeants. Les dirigeants qui ont une vision et la partagent, proposent d’agir pour un changement constructif. Vous êtes des héros essentiels, avec la capacité de rallier les foules pour l’action.

Mike Cauley, président de l’Église adventiste en Floride, a lancé un défi à ses collègues responsables : « Êtes-vous assez intéressés pour apprendre le langage des gamins (jeunes adultes) ? Je suis sérieux, autant que face à une crise cardiaque ! Nous vivons dans un monde brisé. Nous sommes devant une génération (de jeunes adultes) qui a faim de l’évangile, et nous ne faisons rien … Mais je vais leur demander (aux membres du comité exécutif de la fédération) de commencer à implanter des églises pour toucher les gamins de moins de 25 ans. Je vais leur demander de nous aider à découvrir comment nous pouvons devenir des églises dans le sens biblique du Nouveau Testament… D’une façon ou d’une autre, nous devons ramener ces enfants, non dans un lieu de divertissement, mais pour en faire des disciples totalement engagés … Nous devons leur donner l’Église. » 26

Non seulement votre approbation, mais aussi nos actions concrètes 27 en tant que dirigeants, serviront de catalyseur pour faire grimper les statistiques des jeunes adultes que nous gardons.

Paires. Il y a des jeunes adultes brillants qui, non seulement sont restés dans l’église, mais sont devenus des croyants actifs.28 Vous êtes parmi les plus puis- sants et les plus influents, non seule- ment en agissant héroïquement avec vos paires qui se perdent, mais aussi en rajeunissant l’adventisme et en favorisant un mouvement qui attirera les nouvelles générations.

« Plusieurs des pionniers adventistes ont commencé leur travail alors qu’ils étaient des jeunes. Des pionniers tels qu’Ellen Harmon White, John Loughborough, J.N. Andrews, Uriah Smith, et John Harvey Kellogg étaient des jeunes ou jeunes adultes quand ils ont commencé à influencer l’Église adventiste du septième jour. Ils étaient jeunes, vibrants et ardents pour Dieu ! »29 D’autres déno- minations ont également commencé grâce à de jeunes dirigeants.

En fait, c’était ce groupe d’âge (jeunes adultes) qui étaient passionnés au début du mouvement adventiste. « J.N. Andrews avait 22 ans quand il a débuté dans le comité des publications. 22 ans ! Il n’était qu’un enfant … Uriah Smith avait 21 ans quand il s’est joint au travail des publications, et James White avait 21 ans quand il arrivé sur la scène et s’est mis à prêcher la doctrine adventiste. »31

Nous avons besoin maintenant d’un mouvement de ce calibre. Ces héros de notre héritage adventiste ont agi vaillamment pour sauver un monde en perdition. Aujourd’hui les jeunes adventistes sont tout aussi essentiels pour entourer et encourager leurs paires. Paires, tout comme parents, pasteurs, professeurs, et présidents doivent construire des relations fortifiantes avec les jeunes adultes.

Plus jamais spectateurs Si le principe de psychologie sociale est vrai, vous pouvez être parvenu à la fin de cet article et vous dire : « C’est un bon article. Je suis heureux que la question des jeunes adultes qui quittent l’église ait été discutée. C’est bien que l’on fasse quelque chose à ce sujet ».

Cette attitude représente la réalité tragique de « l’effet spectateur ». C’est un phénomène qui a déjà vu des générations de jeunes adventistes disparaitre, alors que les héros potentiels ont été des spectateurs. Nous ne devons plus être spectateurs. Je m’adresse donc à vous. Si vous avez lu jusqu’ici, faites un premier pas aujourd’hui pour engager une véritable relation avec un jeune adulte. Soyez un mentor. Déjeunez avec eux. Écoutez attentivement. Ouvrez votre maison. Offrez votre cœur. Il existe autant d’options qu’il y a de jeunes adultes. Commencez aujourd’hui une action avec un jeune adulte.32

Nous sommes horrifiés si nous entendons des histoires sur «l’effet spectateur » quand quelqu’un est assassiné. Et pourtant, que faisons-nous quand nous nous tenons debout sans rien faire, et que nos jeunes gens, peut-être même sous nos yeux, nous quittent et, comme c’est souvent le cas, abandonnant le Seigneur qui est mort pour eux ?


1. Wikipedia, “Effet Spectateur”, le 18 décembre 2007, http://en.wikipedia.org/wiki/Bystander-effect (le 19 décembre, 2007).

2. Roger L. Dudley, Why Our Teenagers Leave the Church: Personal Stories from a 10-Year Study (Ha- gerstown, MD: Review And Herald, 2000), 35.

3. Idem., 22.

4. George Barna, “Most Twentysomething Put Chris- tianity on the Shelf, Following Spiritually Active Teen Years,” dans The Barna Report, le 11 septembre 2006, http://www.barna.org/FlexPage.aspx?Page=Bar- naUpdatesID=245 (le 12 septembre 2006), § 6.

5.Idem, § 6.

6. Division nordaméricaine, Comité de fin d’année #3, Friday Fax (electronic newsletter), 1er novembre 2005, § 6.

7. Centre for Creative Ministry, INNOVATIONNewsletter, 12(19) (Electronic Newsletter), 11 novembre 2006.

8. Idem, § 2.

9. Jan Paulsen, « Sermon de Paulsen: Service –Une at- titude,» dans Special Report : Annual Council 2006, http://adventistview.org/article.php ?d=774. (20 dé- cembre 2007), § 1.

10.A. Allan Martin, “The ABC’s of Ministry to Genera- tion X, Y, and Z,” Journal of Adventist Youth Ministry, 5 (1&2) Hiver-printemps 1995 : 37-46 http://www.ta- gnet.org/dvm/ABCs.html.

11. Roger L. Dudley, Why Our Teenagers Leave the Church, 2000.

12. Comité exécutif de la Conférence générale des ad- ventistes du septième jour, « Conserving Membership Gains–an Appeal, » 10 avril 2007, http://www.adven- tist.org/beliefs/other_documents/conserving- gainss.html (19 décembre 2007) § 5.

13. Kimberly Luste Maran, “Where is the Joy ?” dans Adventist Review, 16 novembre 2000, http://www.ad- ventistreview.org/2000-1551/story1.html (26 décem- bre2007),§23.

14. Let’s Talk, “Have Your Say,” http://letstalk.Adven- tist.org, (21 décembre 2007).

15. Jan Paulsen, “Paulsen Sermon : Service–An Atti- tude”, § 14.

16. Robert Wuthnow, After the Baby Boomers: How Twenty- and Thirty-something Are Shaping the Future of American Religion (Princeton, NJ: Princeton Univer- sity Press, 2007, 230.

17. Wikipedia, “Bystander Effect,” § 5.

18. North American Division Family Ministries, http://adventistfamilyministries.com/ offre nombre de ressources et soutiens aux parents dans la formation des nouvelles générations.

19.Connie Vandeman Jeffery, “My Starbucks Kids,” dans Adventist Review, le 16 janvier 2003, http://www.adventistreview.org/2003.1503/story.html (24 décembre 2007).

20. Bill Bossert souligne les étapes suivies par sa congrégation dans http://adventisreview.org/article. php?id=1300 et donne d’autres détails sur sa stratégie.

21. Bill Bossert, “The Wassau Church Story.” Dans Ad- ventist Review, 9 août 2007, http://adventisreview. org/article.php?id=1299 (24 décembre 2007), § 27. Voir aussi B. Bossert, «Frantic Plans and Desperate Measures, » Ministry (août 2007) : 9-12.

22. Falvo Fowler, “Real”, dans Adventist Review, 18 juillet 2002, http://adventistsreview.org/2002 1529/story2.html (24 décembre 2007), § 16.

23. Jimmy Phillips, “The Invisible Majority”, dans Ad- ventist Review, 20 septembre 2007, http://www.ad- ventistreview.org/article.php?id=1371 (24 décembre 2007).

24. Ron Pickel, North American Division Adventist Christian Fellowship Coordinator, présente quelques idées sur ce que les étudiants universitaires attendent de l’église sur http://adventistreview.org/article. php/id=1372.

25. Pour plus d’information, allez sur http://educa- tion.gc.adventist.org

26. Mike Cawley, “2007 Florida Camp Meeting Ser- mon” [MP3 audio file] 2 juin 2007, http://www.florida- conference.com/campmeeting/MP3/2007/FLCM_06- 02-07_1930.mp3. (25 décembre 2007). Également disponible sous forme de transcription http://www.flo- ridaconference.com/campmeeting/cauley2007.html, § 48.

27. Ce sont les actions concrètes des dirigeants qui révèlent les valeurs les plus importantes. Deux prési- dents de fédérations ont déjà mis en place des res- ponsables de ministères pour jeunes adultes. Le Christian Leadership Centre (Centre chrétien de direc- tion), http://www.andrews.edu/clc a récemment approuvé la formation de jeunes dirigeants, encourageant tous les présidents et administrateurs de l’église à former des nouvelles générations de diri- geants.

28. Kimberly Luste Maran, Wilona Karimbadi, Omar Bourne, “Adventist Review’s Top 20 in Their 20s,” Adventist Review, 14 septembre 2006, http://adventistre- view.org/article.php?id=715 (24 decembre 2007).

29. Lynette Franzen, “Young Adventist Pionners”, Ad- ventist Review, 27 mai 2004, http://www.adventistre- view.org/2004-1522/story2.html (24 décembre 2007), § 2.

30. Mike Cauley, “2007 Florida Camp Meeting Ser- mon”. 2007, § 11.

31. Depuis plus de dix ans « Dream VISION Ministries », http://dreamVisionministries.org offre formation et res- sources pour développer des relations authentiques avec les nouvelles générations. Je propose un modèle théologique pour un ministère des jeunes adultes, http://www.adventistreview.org/2000- 1556/story2.html encourageant les jeunes adultes à comprendre leur ministère envers leurs paires.

32. A. Allan Martin, “Won by One: What if I did just One Thing” Adventist Review, 175 (36). Septembre 1998, 20, 21.