Le temps de détresse : faire face à l’avenir sans crainte

Méditations spirituelles 06/10/2022

Gerhard Pfandl | Adventist World octobre 2022

Nous pouvons regarder l’avenir avec confiance, sachant que Jésus viendra nous chercher pour nous emmener dans les demeures qu’il nous a préparées (Jn 14.1-3).

L’expression « temps de détresse » (hébreu : cet tsarah/tsar) apparaît huit fois dans l’Ancien Testament1. L’équivalent du Nouveau Testament, soit « grande tribulation » (thlipsis megalē) apparaît trois fois2. Dans chaque texte, le « temps de détresse/ tribulation » fait référence à un temps de détresse, d’oppression, de catastrophe, ou de guerre.

Compte tenu du schéma prophétique biblique, nous croyons que nous vivons au temps de la fin, juste avant la seconde venue de Jésus. Ainsi, le grand temps de détresse n’est pas un temps lointain dans le futur, mais un temps que nous pourrions tous vivre : après tout, Ellen White a noté que « les événements de la fin [vont] se précipiter »3. Bien que l’on doive s’attendre à la persécution pendant le grand temps de détresse, certains chrétiens sont déjà persécutés aujourd’hui ; en fait, les chrétiens sont actuellement l’un des groupes religieux les plus persécutés dans le monde4.

En particulier dans les régions où les religions majoritaires sont traditionnellement non chrétiennes, les chrétiens ont subi de terribles persécutions – notamment des lieux de culte détruits et incendiés, des passages à tabac, la destruction de biens, et même la mort. Bien que la persécution soit une réalité au temps de la fin, les Écritures nous assurent qu’au cours du grand temps de détresse, aucun des enfants de Dieu ne perdra la vie, car Dieu prendra soin d’eux (Ap 22.11)5. Examinons de plus près les données bibliques qui nous permettent de comprendre le concept de « temps de détresse ».

LE TÉMOIN DE JÉRÉMIE

Trois textes de Jérémie présentent un intérêt particulier. Le prophète a vécu pendant les dernières décennies du royaume de Juda. Josias – le dernier bon roi de Juda – est mort en 609 av. J.-C., lors de la bataille de Meguiddo contre les Égyptiens. Ses fils, hélas, n’ont pas suivi ses traces. Jérémie les a avertis à maintes reprises de la venue du temps de détresse s’ils ne revenaient pas à leur Dieu. La calamité qui se profilait à l’horizon à cette époque, c’était l’Empire babylonien.

La sécheresse décrite dans Jérémie 14 est considérée comme un précurseur du jugement à venir. Jérémie supplia Dieu : « Espérance d’Israël, son sauveur au temps de la détresse […] ne nous abandonne pas ! » (14.8,9)6. Dieu répondit par la négative à la supplique de Jérémie (Jr 15). Un temps de détresse viendrait (Jr 15.11) et il livrerait « gratuitement au pillage [leurs] biens et [leurs] trésors, à cause de tous [leurs] péchés » (15.13).

Le livre de la consolation (Jr 30-33) s’ouvre sur la promesse qu’un jour, Israël et Juda reviendraient d’exil dans leur patrie, le pays de leurs ancêtres (30.3). Le royaume du Nord, Israël, était déjà parti en exil en Assyrie en 722 av. J.-C. ; viendrait bientôt le tour de Juda en trois déportations (respectivement en 605, 597 et 586 av. J.-C.) à Babylone. Mais avant l’exil, il y eut l’horreur de la conquête de Jérusalem par les Babyloniens. « Malheur ! Ce jour est grand, aucun autre n’est comme lui. C’est un temps de détresse pour Jacob » (Jr 30.7, NBS). Jérémie a décrit les événements entourant la chute de Jérusalem en 586 av. J.-C., en tant que temps de détresse de Jacob. Au nombre de ces événements figuraient un siège de 18 mois de la ville, le pillage de la ville par les Babyloniens et la destruction du premier temple. C’était l’accomplissement historique de la prophétie concernant « le temps de détresse de Jacob ». Néanmoins, Juda « en sortira sauvé » (30.7). Après l’exil babylonien, le peuple de Juda retourna au pays de Juda.

ÉCLAIRAGES TIRÉS DE DANIEL ET DE MATTHIEU

Dans l’Ancien Testament, le texte le plus connu sur le « temps de détresse » se trouve dans Daniel 12.1 : « En ce temps-là se lèvera Micaël, le grand chef, le défenseur des enfants de ton peuple ; et ce sera une époque de détresse, telle qu’il n’y en a point eu de semblable depuis que les nations existent jusqu’à cette époque. En ce temps-là, ceux de ton peuple qui seront trouvés inscrits dans le livre seront sauvés. »

« En ce temps-là » renvoie au moment où le roi du Nord arrivera « à la fin, sans que personne lui soit en aide » (Dn 11.45). C’est le moment où Micaël se lèvera. Micaël, dont le nom signifie « Qui est comme Dieu ? » est le grand Prince qui monte la garde sur le peuple de Daniel (12.1). Dans Jude 9, il est appelé « l’archange Michel » ; et dans 1 Thessaloniciens 4.16, « la voix d’un archange » ressuscitera les morts en Christ. Puisque dans Jean 5.26-28 le Christ dit que sa voix ressuscitera les morts, l’expression « l’archange Michel » se réfère donc à Christ.

Le mot hébreu camad (« se lever, s’élever ») est utilisé à plusieurs reprises dans Daniel 11 où il fait toujours référence à un nouveau roi arrivant au pouvoir7. Tous les rois dans Daniel 11 étaient des dirigeants terrestres, « mais maintenant le Souverain du ciel va prendre le pouvoir, et il va créer un type de royaume très différent, un royaume gouverné selon les principes de la justice »8.

Un temps de détresse tel « qu’il n’y en a point eu depuis que les nations existent jusqu’à cette époque » est aussi mentionné dans Matthieu 24.21 : « Car alors, la détresse sera si grande qu’il n’y en a point eu de pareille depuis le commencement du monde jusqu’à présent, et qu’il n’y en aura jamais. » Les deux « temps » sont mentionnés comme étant les plus grands de l’histoire de l’humanité. Comme les deux déclarations se réfèrent à des époques différentes, elles ne peuvent pas être toutes deux littéralement vraies. Par conséquent, elles doivent être comprises comme des expressions idiomatiques qui soulignent la nature superlative des événements9.

Les deux phrases suivantes indiquent que le temps de détresse de Daniel se situe à la fin de l’histoire du monde, juste avant la seconde venue de Jésus : « Mais en ce temps-là, ton peuple sera délivré, tous ceux dont le nom sera trouvé écrit dans le livre. Et beaucoup de ceux qui dorment dans la poussière de la terre se réveilleront, les uns pour la vie éternelle, les autres pour la honte et le mépris éternel » (Dn 12.1,2). Pendant la grande période de détresse, le peuple de Dieu connaîtra des persécutions et des épreuves, mais Dieu le délivrera des desseins de ses ennemis, de sorte qu’il sera enlevé, avec les justes ressuscités, « sur des nuées, à la rencontre du Seigneur dans les airs » (1 Th 4.17).

La « grande tribulation » prédite par Jésus dans Matthieu 24.21 se produit après la chute de Jérusalem en l’an 70 apr. J.-C., laquelle est décrite dans les versets 15-20. Ainsi, cette grande tribulation (v. 21) qui survient après la chute de Jérusalem a trouvé son accomplissement pendant le Moyen Âge, lorsque Satan a tenté de détruire le vrai peuple de Dieu par l’intermédiaire de l’Église apostate.

LE TEMPS DE DÉTRESSE DANS LE LIVRE DE L’APOCALYPSE

Dans Apocalypse 7.4, Jean entend le nombre de ceux qui ont été scellés : 144 000. Au verset 9, il les voit, et voici, c’est « une grande foule, que personne ne pouvait compter, de toute nation, de toute tribu, de tout peuple, et de toute langue. Ils se tenaient devant le trône et devant l’agneau ». Alors qu’il se demande qui ils sont, on lui dit : « Ce sont ceux qui viennent de la grande tribulation ; ils ont lavé leurs robes, et ils les ont blanchies dans le sang de l’agneau. » (Ap 7.14) Il s’agit de la seule référence à la grande tribulation au temps de la fin dans le livre de l’Apocalypse ; par contre, ce qui se passe pendant ce temps-là est décrit dans Apocalypse 13.15-17 et aux chapitres 15 et 16. Cette grande tribulation est le même événement que le temps de détresse mentionné dans Daniel 12.1.

Tout comme dans l’épilogue du livre de Daniel – où il est dit à Daniel que le dévoilement de ses prophéties provoquera une division, que « plusieurs seront purifiés, blanchis et épurés ; [que] les méchants feront le mal et aucun des méchants ne comprendra, mais ceux qui auront de l’intelligence comprendront » (Dn 12.10) – ainsi l’annonce solennelle est faite dans l’épilogue du livre de l’Apocalypse (22.6-21) : « Que celui qui est injuste soit encore injuste, que celui qui est souillé se souille encore ; et que le juste pratique encore la justice, et que celui qui est saint se sanctifie encore. » (Ap 22.11) Les êtres humains « peuvent résister à l’Évangile pendant un certain temps. Mais un verdict finira par être prononcé, et alors, il sera trop tard pour changer10. »

Le grand temps de détresse commencera avec la fin du temps de grâce (Ap 22.11), lorsque Jésus achèvera son ministère d’intercession et de jugement dans le sanctuaire céleste. À ce moment-là, il n’y aura plus que deux catégories de gens sur la terre : ceux qui auront accepté l’offre de salut de Dieu, et ceux qui l’auront rejetée. Comme nous l’avons mentionné plus haut, pendant le grand temps de détresse, lorsque les sept derniers fléaux seront déversés sur les méchants, le peuple de Dieu sera sans Intercesseur dans le ciel ; cependant, Dieu ne l’abandonnera pas. Le Saint-Esprit se sera retiré des méchants, mais pas du peuple de Dieu. En outre, la déclaration d’Apocalypse 22.11 nous donne l’assurance que Dieu prendra soin de son peuple. « Que celui qui est saint se sanctifie encore » signifie que Dieu garantit qu’il les protégera, et que rien ne leur arrivera qui changera leur destinée ; ils resteront saints. Oui, ils connaîtront le « temps de détresse de Jacob », mais pas un seul des saints de Dieu ne sera perdu.

LE TEMPS DE DÉTRESSE DANS LES ÉCRITS D’ELLEN G. WHITE

Dans sa description des événements de la fin des temps, Ellen White décrit trois périodes distinctes, chacune comportant des événements spécifiques : 1) le temps du jugement investigatif ou pré-avènement, lequel se termine avec la fin du temps de grâce ; 2) le grand temps de détresse qui survient à la fin du temps de grâce et se termine avec le second avènement ; 3) le millénium, lequel fait suite au retour de Jésus puis se termine par la résurrection des méchants et leur destruction finale dans l’étang de feu.

Les événements qui conduisent au temps de détresse comprennent le scellement des saints11, la pluie de l’arrière-saison12, le grand cri13, le crible14, la loi du dimanche15, le décret de mort16, et la fin du temps de grâce17. Après la fin du temps de grâce, Ellen White voit en vision le grand temps de détresse, le déversement des sept derniers fléaux, et le temps de détresse de Jacob. Le grand temps de détresse atteindra son apogée lors de la bataille d’Harmaguédon au cours du sixième fléau, suivi d’une résurrection partielle lors du retour de Jésus, au cours duquel auront lieu la première résurrection et la translation des justes. Ces événements seront suivis du millénium.

1 Le grand temps de détresse Le grand temps de détresse (Dn 12.1) commence avec la fin du temps de grâce. C’est le moment où les sept derniers fléaux tomberont sur la terre. La longanimité de Dieu aura pris fin. Les méchants auront franchi les limites de leur temps de probation et l’Esprit de Dieu leur sera enfin retiré. « Il n’était pas possible que les fléaux fussent versés tandis que Jésus officiait dans le lieu très saint ; mais lorsque son œuvre fut achevée et que son intercession eut pris fin, rien ne put plus arrêter la colère de Dieu18. » C’est le moment où les quatre anges d’Apocalypse 7.1-3 déchaîneront les vents de la terre, et où « Satan […] plongera alors les habitants de la terre dans la grande détresse finale »19.

Les sept derniers fléaux20 seront de courte durée et localisés en divers endroits du globe, « autrement les habitants de la terre périraient tous »21, mais le sixième fléau impliquera la bataille mondiale d’Harmaguédon (Ap 16.12-16). Les trois esprits impurs (c’est-à-dire les esprits de démons) sortent de la bouche du dragon (le spiritisme), de la bête (la papauté) et du faux prophète (le protestantisme apostat). Ils arment les puissances de ce monde pour une bataille finale contre Dieu et son peuple. Harmaguédon n’est pas un lieu au Moyen-Orient, comme le croient de nombreux chrétiens – mais il y a Harmaguédon partout où le peuple de Dieu est mis en danger par l’ennemi. Cependant, au moment du plus grand danger, Jésus apparaîtra dans les nuées du ciel pour sauver son peuple22.

2 Le temps de détresse de Jacob L’accomplissement du temps de détresse de Jacob dont il est question dans Jérémie 30.7, à l’époque de Jérémie, a été expliqué ci-dessus. Ellen White applique le temps de détresse de Jacob au temps de la fin et relie son commencement au décret de mort avant la fin du temps de grâce, bien qu’il occupe la majeure partie du grand temps de détresse. « Lorsque viendra ce temps de détresse, le sort de chacun aura été décidé. Il n’y aura plus de temps de grâce et de miséricorde pour les impénitents.

Le sceau de Dieu sera sur les enfants de Dieu. […] Le décret a été édicté par la plus puissante autorité qui soit au monde pour qu’on adore la bête et qu’on reçoive sa marque sous peine d’être persécuté et mis à mort. Que le Seigneur aide son peuple aujourd’hui ! Dans une lutte aussi terrible, que pourrait-il faire sans son assistance23 ? »

De même que Jacob, bien qu’ayant confessé ses péchés, luttait encore avec Dieu (Gn 32), de même le peuple de Dieu connaîtra un temps d’angoisse et ressentira un profond sentiment d’indignité. Cependant, « ses fautes auront déjà passé en jugement, et elles auront été effacées ; il ne s’en souviendra plus »24.

3 La résurrection partielle Juste avant l’apparition du Christ dans les nuées du ciel, il y aura une résurrection partielle, tel que le suggère Daniel 12.2 : « Plusieurs de ceux qui dorment dans la poussière de la terre se réveilleront, les uns pour la vie éternelle, et les autres pour l’opprobre, pour la honte éternelle. » Ellen White commente : « Tous ceux qui sont morts dans la foi au message du troisième ange sortent glorifiés de leurs tombeaux pour entendre proclamer l’alliance de paix conclue avec les fidèles observateurs de la loi de Dieu. D’autre part, “ceux qui l’ont percé” (Ap 1.7), qui se sont moqués du Sauveur agonisant, ainsi que les ennemis. les plus acharnés de la vérité et de son peuple, ressuscitent aussi pour contempler sa gloire et les honneurs conférés aux fidèles25. » Cette résurrection spéciale n’a pas lieu quelques jours ou semaines avant la seconde venue, mais le jour où Jésus revient sur cette terre. Puisque le but de cette résurrection spéciale est de permettre aux personnes mentionnées ci-dessus de le voir venir dans les nuées du ciel, celle-ci ne peut avoir lieu que quelques minutes ou quelques heures avant son apparition.

4 La seconde venue Lorsque Christ viendra, la première résurrection aura lieu (Ap. 20.4,5).

« La voix du Fils de Dieu appelle les saints hors de leurs tombeaux. Jetant ses regards sur ces tombes, il lève les mains vers le ciel et s’écrie : “Debout, debout, debout vous qui dormez dans la poussière !” Dans toutes les parties de la terre, “les morts entendront la voix du Fils de l’homme, et ceux qui l’auront entendue vivront”26. » Les vivants qui ont accepté Jésus en tant que Sauveur seront changés « en un instant, en un clin d’œil » (1 Co 15.52). « Maintenant, ils sont rendus immortels et, avec les saints ressuscités, ils sont enlevés à la rencontre de leur Seigneur dans les airs » (1 Th 4.17)27, et les incrédules seront détruits. « Au retour du Seigneur, les méchants sont extirpés de dessus la face de toute la terre ; ils sont “détruits par le souffle de sa bouche, et anéantis par l’éclat de son avènement”28. » C’est à ce moment-là que le millénium commencera.

NOTRE BIENHEUREUSE ESPÉRANCE

Il est clair que nous vivons au temps de la fin (Dn 11.45) ! Les Écritures et l’Esprit de prophétie nous donnent un aperçu de l’avenir. Il y aura des persécutions, un décret de mort, et un grand temps de détresse pendant lequel les enfants de Dieu devront vivre sans Intercesseur dans le ciel. Néanmoins, ils n’ont rien à craindre, car Dieu a promis dans Apocalypse 22.11 de prendre soin d’eux. Ainsi donc, nous pouvons regarder l’avenir avec confiance, sachant que Jésus viendra nous chercher pour nous emmener dans les demeures qu’il nous a préparées (Jn 14.1-3).


1 Voir Ne 9.27 ; Jb 38.23 ; Ps 37.39 ; Es 33.2 ; Jr 14.8 ; 15.11 ; 30.7 ; et Dn 12.1.

2 Mt 24.31 (SER) ; Ap 2.22 ; 7.14.

3 Ellen G. White, Témoignages pour l’Église, vol. 3, p. 335.

4 Kelly James Clark, « The Most Persecuted Religion in the World », Huffpost, 6 mars 2013. Disponible en ligne sur le site suivant : https://www.huffpost.com/entry/christianity-most-persecuted-religion_b_2402644?guce_referrer_us=aHR0cHM6Ly9mci5nYXRlc3RvbmVpbnN0aXR1dGUub3JnLzEzNzQyL3NpbGVuY2UtcGFwZS1wZXJzZWN1dGlvbi1jaHJldGllbnM&guce_referrer_cs=-lJOy8zbexdIzSumsz7IQQ. Voir aussi, plus en détail, Rupert Short, Christianophobia, Londres, Civitas, Institute for the Study of Civil Society, 2012, disponible sur le site suivant : https://www.civitas.org.uk/pdf/Shortt_Christianophobia.pdf.

5 Cette affirmation se base sur Apocalypse 22.11. Sa signification particulière est discutée dans la section traitant du temps de détresse dans le livre de l’Apocalypse.

6 Sauf mention contraire, toutes les citations des Écritures sont tirées de la version Louis Segond 1910.

7 Dn 11.2,3,4,7,20,21.

8 William Shea, Daniel: A Reader’s Guide, Nampa, Id., Pacific Press Pub. Assn., 2005, p. 269.

9 Cette expression idiomatique est similaire à celle utilisée dans 2 Rois 18.5 et 23.25, où les rois Ézéchias et Josias sont tous deux décrits comme si fidèles au Seigneur que « après lui, il n’en a point paru de semblable ».

10 Ranko Stefanovic, Revelation of Jesus Christ, éd. rév., Berrien Springs, Mich., Andrews University Press, 2009, p. 619.

11 Ellen G. White, Premiers écrits, p. 469.

12 Idem., Conquérants pacifiques, p. 48, 49.

13 Idem., Messages choisis, vol. 1, p. 425.

14 Idem., Premiers écrits, p. 269, 270.

15 Idem., Témoignages pour l’Église, vol. 3, p. 469.

16 Idem., La tragédie des siècles, p. 684.

17 Ibid., p. 681.

18 Idem., Premiers écrits, p. 280.

19 Idem., La tragédie des siècles, p. 666.

20 L’expression « les sept derniers fléaux » vient du fait que lorsque les dix fléaux [ou plaies] sont tombés sur l’Égypte, les trois premiers sont également tombés sur les Israélites, mais les sept derniers ne sont tombés que sur les Égyptiens. Les sept derniers fléaux, au temps de la fin, ne tomberont que sur les méchants et non sur les justes.

21 Ellen G. White, La tragédie des siècles, p. 681.

22 Idem., Premiers écrits, p. 284.

23 Idem., Témoignages pour l’Église, vol. 2, p. 75.

24 Idem., La tragédie des siècles, p. 672.

25 Ibid., p. 691.

26 Ibid., p. 699.

27 Ibid., p. 700.

28 Ibid., p. 714 ; voir Ap 19.11-21.


Gerhard Pfandl a pris sa retraite en tant que directeur adjoint de l’Institut de recherche biblique de la Conférence générale. Il habite à Burtonsville, dans le Maryland, aux États-Unis.