ADRA France | Trait d’Union N. 57, p. 26
Clarisse, de Reims en passant par Toulouse, comment es-tu arrivée à ADRA ?
Dans le cadre de mes études à Sciences Po Toulouse, je devais réaliser un stage de fin d’études pour valider un master en gouvernance des relations internationales. Après quatre mois dans une ONG en Bolivie, sur le terrain, je cherchais une expérience en France afin de connaitre l’arrière-plan de la gestion de projets.
Pourquoi ADRA France ?
C’est une structure qui correspond pleinement à mes recherches. J’ai donc répondu spontanément à l’offre de poste.
Comment vis-tu ton implication dans notre structure ?
Pour l’instant, tout correspond à mes attentes. C’e st une très bonne expérience. Je m’implique dans le concret. Je découvre et apprécie pleinement le poste de cheffe de projet au sein d’une ONG internationale comme ADRA.
Et tes projets d’avenir à la fin de ton service civique ?
D’abord terminer et soutenir mon mémoire de master sur le travail infantile et la participation des enfants aux décisions politiques (en Bolivie). Puis, forte de ma formation et de mes expériences, je souhaite repartir sur le terrain, en Asie si possible, impliquée dans des projets qui concernent les enfants.
Propos recueillis par Ph. Aurouze
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